Santé promotionnelle

6 janvier 2023

Des systèmes et des services de santé de base sont fondamentaux pour la santé de la population. Toutefois, les facteurs sociaux, économiques et environnementaux, qui influencent fortement la santé, sont souvent plus importants. Selon les estimations, notre santé peut dépendre jusqu’à 60% de facteurs tels que l’éducation, le sexe, le domicile ou le milieu social. Dans la santé globale on nomme ces facteurs les déterminants de la santé.

Du point de vue de la santé publique, les investissements destinés à réduire les facteurs de risque tels que la pollution de l’environnement, le changement climatique, la malnutrition, l’eau, la migration ou la pauvreté sont donc indispensables.
Ils confèrent un avantage socio-économique aux populations, car, dès lors, la productivité économique d’un groupe en bonne santé augmente et ses dépenses de santé diminuent. Les projets de notre association favorisent l’éducation a la citoyenneté dans différents domaines : de la santé, de l’alimentation et du développement durable, pour améliorer les déterminants de la santé.

Les actions de l’association, Action pour la Santé, l’Alimentation et le Développement, visent a en encourager les changements de comportement des personnes et à s’assurer que même les plus pauvres puissent exercer leur droit à la santé et a l’éducation et assument leur responsabilité.
Pour y parvenir, l’association collabore étroitement avec d’autres associations de terrains de notre zone d’intervention.

Le système de santé congolais (République démocratique du Congo) est géré par trois structures : le Ministère de santé, l’inspection provinciale de la santé, et la zone de santé.

La République Démocratique du Congo entend utiliser l’éducation comme principal levier du développement, afin d’assurer la bonne intégration de son économie dans l’économie mondiale. L’éducation est considérée comme le moyen de produire une main-d’œuvre bien formée et qualifiée.

Le pays est confronté à certains obstacles en matière de la santé, tels que des possibilités d’accueil peu-développées au niveau des structures de santé, un fort taux de malades qui débordent dans des pays étrangers et limitrophes. De plus, la qualité de prise en charge est inadéquate.